Format de poche
#78

Exposition du 20 décembre 2018 au 5 janvier 2019
Vernissage le mercredi 19 décembre de 18h à 21h


D'un bord à l'autre
mpS[&]jpB
Madeleine-Pascale Sins & Jean-Pierre Bertozzi
#77


Exposition du 6 décembre au 15 décembre 2018
Vernissage le mercredi 5 décembre de 18h à 21h

Partir de deux pratiques identiques de l’abstraction mais de deux univers différents relève du défi où se rejoignent un désir de création homogène à un champ de possibles sans réelles limites.
Les premières oeuvres ne furent pas à proprement discutées. Elles se créaient avec l’intervention de l’un sur des travaux préalables de l’autre. Comme une sorte de rééquilibrage de composition.
Comme pour insuffler une nouvelle et autre dynamique dans le propos. Il fallait d’abord comprendre la peinture exposée, s’immerger en elle en soulignant ses qualités, en prolongeant son histoire d’une suite logique ou illogique. Une évidence était née : travailler ensemble. Se confronter et s'adopter picturalement.
S’élancer d’un principe d’enrichissement de deux états d'âme distincts vers un troisième passe par la volonté de se surprendre dans les dédoublements de gestes, de palettes, de contradictions, de complémentarités, d'accidents qu’apportent l’autre.
Des premiers exercices, comparés comme un jeu, naquit la toile blanche à faire vivre en même temps, les interventions de l’un succédant à celle de l’autre, entrecoupées de décisions réfléchies, de regards enrichis, d’idées nouvelles et inattendues. L’association se développe sous d’autres formes : photographies, dessins, installations, fresque murale viennent s’ajouter aux premiers travaux de peinture.
Des options sans fin approfondissent la recherche d’un style non figé.
Explorer, s’interroger, s’opposer, s’adapter sont des arguments d’avancée vers un travail commun riche de découvertes d’une identification plastique propre et d’ambition binomique.

 

Art numérique 2
#76


Exposition du 22 novembre au 1 décembre 2018
Vernissage le mercredi 21 novembre de 18h à 21h

Les oeuvres d’art numérique que nous exposons aujourd’hui utilisent des moyens divers et poursuivent des objectifs différents mais le recours aux outils informatiques les réunit cependant.
Si tout art réalisé à l’aide de dispositifs numériques est considéré comme art numérique, il y a une grande variété de réalisaions, de plus si l’on n’utilise pas cet outil dans la dernière étape de la création, l’effet numérique n’est pas toujours saisissable.
Il existe de nombreux outils informatiques qui aident à la création artistique,certains sont tous préétablis pour satisfaire un grand nombre d’utilisateurs,d’autres offrent la possibilité d’organiser un programme soi-même et permettent de créer ce qu’on appelle l’« art génératif ».
Bien que le programme soit difficile à écrire, il rejoint dans son vocabulaire et sa philosophie la grammaire générative du linguiste Noam Chomsky, ce qui est une ouverture intéressante.
Pour cette seconde édition, je crois que cette exposition permettra de présenter la variété des oeuvres numériques.
Enfin, la moitié des artistes exposent pour la première fois dans cette édition.
On peut remarquer particulièrement le cas d’Albert Ayme, décédé il y a 6 ans.
C’est une sorte d’hommage à cet artiste : avec le soutien de son fils Giney Ayme, une série de ses oeuvres génératives est recodée pour l’ordinateur par Alain Longuet.
Cette exposition donne également aux artistes numériques l’occasion de se rencontrer.
Ce sera un grand plaisir si ce chemin mène à la possibilité de travailler collectivement, ce qui semble effectivement plus facile que dans le domaine de l’art traditionnel.
Pour conclure, je remercie tous les artistes qui ont accepté de participer, surtout David Apikian, Alain Longuet et Carol-Ann Braun qui m’ont beaucoup aidé.


Jun Sato

 

Cinétique II
#75


Exposition du 8 novembre au 17 novembre 2018
Vernissage le mercredi 7 novembre de 18h à 21h

Ce qui a marqué le tournant dans la pensée créatrice contemporaine, c’est certainement cette conscience soudaine de l’inséparabilité spatio-temporelle, révélée aussi simultanément dans les théories scientifiques les plus avancées. Le mouvement et le rythme entrent par la grande porte dans la pratique artistique pour s’imposer souvent, et surtout grâce à l’avancée incessante de l’art abstrait, comme le seul vrai sujet et le signe incontestable de la modernité. La vision, auparavant immuable, commence à s’étendre dans la durée, soit par le mouvement réel, soit par l’addition des instants successifs créant par conséquent un mouvement fictif rétinien.
Le cinétique passe à l’optique avec toutes ses implications perceptives et psychologiques entraînant une œuvre qui englobe dans son intégralité non seulement le substantiel, mais surtout le devenir. Il s’établit une nouvelle dialectique du réel et de l’imaginaire qui engendre des images et des formes spatiales dynamisées. La réalité et la matière se dévoilent comme des flux d’énergie. L’image s’ouvre par ses intersections fragmentées : le mouvement et le rythme deviennent la ressource d’une nouvelle expressivité. Il ne s’agit plus de la reproduction ou de l’imitation, mais d’une analogie plastique basée sur l’appréhension d’une réalité dynamique et vivante, de formes qui n’embrassent plus seulement l’espace, mais aussi le temps, de formes qui ne peuvent plus se priver de cette pensée temporelle.
L’artiste façonne le temps comme il façonne l’espace. Ainsi les Cubistes, qui ont suivi le chemin bien tracé de Cézanne par le fractionnement du réel, les Futuristes par la dynamisation de la vision, commencée déjà dans l’expérimentation photographique de Muybridge et Marey, ensuite passée par la conceptualisation de Duchamp, sans oublier les Constructivistes russes, le Suprématisme extrasensoriel de Malevitch et ses perspectives cosmiques, le Néoplasticisme idéalisé de Mondrian ou l’Orphisme lumineux de Kupka et surtout des Delaunay, apparaissent comme les précurseurs d’un art appelé aujourd’hui en toute légitimité « Art Cinétique ».
Ce courant artistique, représenté par ses protagonistes historiques comme Vasarely, Soto, Agam, Morellet, Cruz-Diez, Le Parc ou Molnar, est au cœur de l’actualité des dernières décennies. Il est profondément ancré dans un esthétisme largement géométrisant, expression fidèle d’une sensibilité associée entièrement à cette nouvelle ère galopante et incontournable du numérique et à ses enseignements sortis directement d’une logique cybernétique ultrasophistiquée.  Cette deuxième édition montre bien l’intérêt grandissant pour les idées cinétiques et la vision qui implique et intègre la notion de temps, et ainsi le rythme et le mouvement, dans la pensée créative actuelle.
   

Milija Belic


 

L.A. Artcore
#74

Exposition du 18 octobre au 27 octobre 2018
Vernissage le mercredi 17 octobre de 18h à 21h

C’est grâce à Lydia Takeshita et à ses étudiants du département des beaux-arts de l’université Cal State Los Angeles que tout a commencé entre 1960 et 1970. Les étudiants se réunissaient régulièrement en dehors des cours pour discuter du développement des arts contemporains à Los Angeles et ces discussions allaient être à l’origine de la mouvance artistique de Downtown LA (centre ville de Los Angeles).
Lydia Takeshita et plusieurs de ses élèves ont par la suite installé leurs activités dans Downtown LA et ont créé une galerie sur la rue San Mateo, dans l'actuel quartier des arts.
LA Artcore a été officiellement constituée en société à but non lucratif (association loi de 1901) en 1979.
Au cours des années 1980, LA Artcore a organisé de nombreuses expositions et a publié un magazine interne intitulé “Visions Art Quarterly”, qui a permis une couverture locale et régionale de l’activité artistique. Parallèlement, LA Artcore a mis en place son programme d'échanges internationaux, qui consiste en un échange collaboratif permettant aux artistes de voyager et d'exposer dans un pays étranger ou dans une autre ville des Etats Unis. Depuis lors, LA Artcore a mené des programmes d’échange internationaux avec la Thaïlande, le Japon, la Corée, Taïwan, l’Italie et maintenant la France, ainsi que des échanges nationaux avec San Luis Obispo et Albuquerque.
En plus de son espace du centre-ville, LA Artcore a pu ouvrir une autre galerie en 1998 dans la “Brewery Arts Colony”, une ancienne brasserie transformée en un complexe artistique, internationalement connu. Cet espace est toujours opérationnel aujourd'hui avec des expositions d'art mensuelles et deux fois par an une “Artwalk” très renommée.
Avec plus de 1600 expositions dans son histoire, LA Artcore maintient un calendrier d'au moins vingt-quatre expositions par an sur ses deux espaces, organise des réceptions d'artistes et des conversations avec les artistes lors des vernissages. Outre des expositions en solo et en groupe, des expositions spéciales ont été organisées, notamment des partenariats avec le Women's Caucus for the Art, Jovenes, des conservateurs indépendants, des groupes d’étudiants et des artistes.
Avec plus de 38 ans d'existence, LA Artcore continue de s'adapter à l'évolution du paysage artistique et culturel du centre-ville de LA en continuant de développer une programmation artistique interactive et une implication communautaire.
LA Artcore s’implique très activement dans les mouvements artistiques de Los Angeles par le biais de 24 expositions annuelles, qui proposent toutes des “conversations avec les artistes" animées par l’équipe dirigeante de LA Artcore.
Ces «conversations» permettent d’interagir directement avec l’artiste. En retour, les artistes obtiennent un aperçu et un feed-back sur leur travail par le biais de communications avec un large public.

Everything started with social and artistic interactions of students at Cal State LA’s fine arts department, under the tutelage of Professor Lydia Takeshita during 1960’s and 1970’s. Students would meet regularly outside of class to discuss what would become a cumulative involvement in Downtown LA’s aesthetic movement, and its budding fine arts culture.
Lydia Takeshita and many of her students then relocated their activities to Downtown and established a gallery space on San Mateo street in what is now the Arts District:
LA Artcore was formally incorporated as a nonprofit corporation in 1979.
During the 1980’s, LA Artcore produced numerous exhibitions also with an in-house publication entitled Visions Art Quarterly that brought local and regional coverage. Concurrently, LA Artcore established its International Exchange Program, as a collaborative exchange that allows artists to travel and exhibit in a foreign country. Since then, LA Artcore has conducted exchange programs with Thailand, Japan, Korea, Taiwan, Italy, San Luis Obispo, and Albuquerque, and now France.
In addition to its Downtown space, LA Artcore secured another gallery space in 1998 at the Brewery Arts Colony, a former Brewery transformed into the country’s largest live-work artist’s complex. This gallery space is still in operation today with regularly scheduled monthly art exhibits.
With over 1600 exhibits in its exhibition history, Artcore maintains a schedule of at least twenty-four exhibits per year across its two spaces, conducts artist receptions and hosts conversations with the artists during exhibit receptions. In addition to solo and group shows, special exhibits have included partnerships with the Women’s Caucus for Art, Jovenes, independent curators, student groups, and self-taught artists.
With over 38 years in existence, LA Artcore continues to adapt to the changing artistic and cultural landscape of Downtown LA by continuing to develop and build upon interactive artistic programming and community involvement.
LA Artcore is dedicated to recognizing diverse artistic accomplishments and bringing innovative exhibits and events to the public. LA Artcore welcomes artists of all ages, abilities, and backgrounds to enhance interactions between different constituencies.
LA Artcore is dedicated to expanding interactions between artists and audience, as well as providing a platform to enhance the exchange of information, ideas and feelings.
LA Artcore facilitates awareness of the essence of creativity, conducting "Conversations with the Artists" hosted by representatives from the Board of Directors.
These “Conversations” provide the opportunity to interact directly with the artist. Artists in return gain insight and clarity about their work through communications with a broad-based audience.


Complicité[s] 3/3
Géométriques & Lyriques
#73

Exposition du 4 octobre au 14 octobre 2018
Vernissage le mercredi 3 octobre de 18h à 21h

Deux courants principaux se dessinent dans la grande famille de l’abstraction*:
l’abstraction géométrique et l’abstraction lyrique.
Workshop combinatoire.
Et si des artistes abstraits travaillaient ensemble.
Attraction, similitude, opposition, tension, autant de possibilités de réponses à
un rapprochement des tendances.
Exposition à l’initiative de David Apikian, Jean-Pierre Bertozzi, Madeleine Sins

* L’abstraction recherche l’émotion par la forme et la couleur, sans recourir à la représentation ou à l’évocation de la réalité (www.larousse.fr).

 

Peter De Lorenzo
Four Squared
#72

Exposition du 20 septembre au 29 septembre 2018
Vernissage le mercredi 19 septembre de 18h à 21h

"Four squared" marque un point de départ de travaux antérieurs dans lesquels les rythmes des formes et des couleurs se développentsur une grille dessinée et peinte sur une seule surface.
Le travail, maintenant en relief, a une profondeur physique et perceptuelle.
L'échelle du travail est plus grande tandis que la couleur réduite conserve encore la preuve du processus (peinture). La dissonance et l'harmonie influencées par le travail de Ravel et Messiaen restent des éléments importants. Les couleurs sautent des intervalles entre les carrés et dans l'espace du spectateur.
C'est le spectateur qui les synthétise et les maintient ensemble.

"Four Squared" marks a departure point from earlierwork in which the rhythms of shapes and colours grow out of a grid drawn and painted onto a single surface.
The work, now in relief, has a physical as well as a perceptuel depth. The scale of the work is larger while the reduced colour still retains evidence of the (painting) process. Dissonance and harmony influenced by the work of Ravel and Messiaen remain important elements. Colours jump intervals between the squares and into the viewer's space.
It is the viewer who synthesises and holds them together.


Amarie Bergman
Une Valse Lente / A Slow Waltz
#71

Exposition du 6 septembre au 15 septembre 2018
Vernissage le mercredi 5 septembre de 18h à 21h

“…the intersidereal dust of the non-objective fourth dimension combines with the concept of spatial relativity in a pure notion of infinity, given material form…”

A provocative quote by Kazimir Malevich complemented with recent astrophysical theories about dark energy, dark matter and time are the origin of reductive work that centres on “a pure notion of infinity.”

This purity, transmitted through dimensions and translated by concepts into objects, waltzes around boundaries of perceptions within the volumes of apparently immeasurable space.

A motivating factor for the exhibition, with two different versions taking place at Abstract Project / Paris and Sawtooth ARI / Launceston this year, is to honour the 139 th anniversary of Kazimir Malevich’s birth. To present the tangible modality of reductive art in the 21st century, while simultaneously celebrating ‘codes’ of Malevich and astrophysics, equates to a metaphysical continuity.

 

Elisabeth Bodey / Wendy Kelly
(présentées par Factory 49)
Abstract Junctions

#70

Exposition du 16 août au 1er septembre 2018
Vernissage le mercredi 15 août de 18h à 21h



Elisabeth Bodey vit et travaille à Melbourne en Australie.

Fleuri
La peinture et la musique partagent le langage de l’abstraction. Les oeuvres ici exposées incarnent la possibilité d’une rencontre entre ces deux formes.
Les peintures d’Elisabeth Bodey sont faites de souvenirs auditifs. Elles expriment visuellement certaines résonances et sensations résultant de l’écoute de la musique—musique contemporaine souvent stridente, atonale et à la limite harmonieuse.
Utilisant un langage de signes, registres chromatiques dynamiques, textures et formes provoqués par le travail artistique, ces signes sont alors transmués en espaces ouverts, allant s’élargissant en guise d’invitation.
Les peintures à leur tour deviennent des fragments temporels comme si elles étaient lieux d’action ou manuscrits appelés à se réaliser en concert.

Elisabeth Bodey lives and works in Melbourne, Australia.

Florid
Both painting and music share the language of abstraction and these works
embody a possible juncture between these two forms.
Elisabeth Bodey’s paintings are made with the memories of sound. They are visual responses to resonances experienced and sensations perceived in the music she listens to: contemporary, often strident, often atonal, maybe harmonious. Using a language of signs, relations of colour, textures and forms, they come from and then are made into spaces that are open-ended. expandable, waiting to be occupied
They have in turn become temporal pieces, as if sites for action, manuscripts for performance.

Elisabeth Bodey

Elisabeth Bodey

Wendy Kelly habite et travaille à Melbourne en Australie.

Des courants abstraits
Cet ensemble de travaux a été influencé par le design des surfaces colorées et des motifs de l’architecture contemporaine et par la croissance rapide de la ville en constante évolution de Melbourne. Les torsions et les changements de direction qui parfois semblent n’avoir aucune logique, peuvent aussi être perçus comme ayant une étrange géométrie interne ; à travers une interprétation des bords nets du mouvement Néo-Géo des années 80, ces oeuvres explorent l’intensité et les rythmes de l’expérience de la vie urbaine contemporaine.

Wendy Kelly lives and works in Melbourne, Australia.

Abstract Currents
This body of work is influenced by the design of contemporary architecture’s surface colour and patterning and the growth of development in the rapidly changing city of Melbourne. The twists and turns that at times seem to have no logic can be seen to have a strange inherent geometry, and through a 1980’s neo-geo hard edge interpretation these works explore the intensity and rhythms of the experience of contemporary city living.

Wendy Kelly

Wendy Kelly

 

Arvid Boecker / Dominique Romeyer
(présentés par Factory 49)
Sydney Paris Sunrise
#69

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Exposition du 26 juillet au 11 août 2018
Vernissage le mercredi 25 juillet de 18h à 21h

Artistes présentés :
Arvid Boecker et Dominique Romeyer

Arvid Boecker est un peintre et curateur qui vit à Heidelberg en Allemagne. Il a reçu un diplôme en peinture de l'école d'art HBK Saar à Sarrebruck.
Un mélange passionnant d'approche constructive et de peinture informelle définit le travail artistique d'Arvid Boecker.

Arvid Boecker is a painter and curator who lives in Heidelberg, Germany. He received a Diploma in Painting from the Art school HBK Saar in Saarbrücken.
A tremendously exciting mix of constructive approach and informal painting defines Arvid Boecker's artistic work.

Le travail de peinture de Dominique Romeyer (vit et travaille à Bruxelles) a été exposé récemment en duo 2015-2016, en 2017, solo show et duo à Bruxelles, BE.
La présentation en exposition des "Miroirs", 2017, constitue un ensemble de peintures, toutes indépendantes mais qui se répondent magiquement l'une à l'autre.

Dominique Romeyer, a Brussels-based painter, recently showed her works on canvas and paper  in 2015-2016, duo exhibition, 2017,  solo show and duo in Brussels, Belgium.
In the exhibition, the collection "Miroirs", 2017 makes up a set of works, each one independent but magically intertwined with the others.


Elke Wohlfahrt (présentée par Factory 49)
Indeterminately scrunched

#68

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Exposition du 5 au 21 juillet 2018
Vernissage le mercredi 4 juillet de 18h à 21h

Elke Wohlfahrt est peintre et sculpteur titulaire d'un diplôme d'art plastique de l'université de Sydney. Elle réside à Sydney, Australie, où elle a créé "Indeterminately Scrunched 1-8" (Froissés de manière indéterminée 1-8), une série de "peintures sculpturales performatives" sur papier de riz. Ces huit pièces sont fascinantes par le nombre illimité de peintures sculpturales uniques qui peuvent être créées librement au mur comme au sol.

Elke Wohlfahrt is a painter and sculptor with a BVA (Honours) degree from Sydney University. She resides in Sydney/Australia where she has created Indeterminately Scrunched 1-8, a series of 'performative sculptural paintings' on rice paper. The fascination of the eight pieces is that unlimited numbers of unique wall or floor sculptural paintings can be freely created.

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Tondo Tondi
#67

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Exposition du 14 au 23 juin 2018
Vernissage le mercredi 13 juin de 18h à 21h

Artistes présentés :
Pam Aitken, Joanick Becourt, Jean-Pierre Bertozzi, Christine Boiry, Francesc Bordas, Carol-Anne Braun, Diane De Cicco,
Isabelle de Gouyon Matignon, Olivier Di Pizio, Jacky Ferrand, Catherine Gaillard-Remontet, Fabienne Jousse, Darko Karadjitch, Anne Lou, Mitsouko Mori, Madeleine Sins.

Le tondo (tondi au pluriel) est un profil, généralement sculpté en faible relief, mais qui peut aussi être peint, réalisé sur un support de format rond ou à l'intérieur d'un disque, et non en rectangle comme il est plus courant. Le terme provient de l'italien, c'est une aphérèse du mot rotondo (rond). Wikipédia

Que ce soit dans l'art égyptien, dans l'Antiquité grecque et romaine déjà familières du nombre d'or, ou à la Renaissance, la géométrie a toujours constitué l’un des fondements des inventions des artistes. La géométrie est aussi constitutive du format en peinture rectangle, carré ou cercle.

Le titre de cette exposition fait aussi allusion à une association d'artistes abstraits, Cercle et Carré, fondée en 1929, dont Kandinsky et Léger, étaient membres. D'une courte durée, l'association n'a existé qu'un an, le temps d'organiser une exposition et de publier quelques numéros d'une revue, elle a été relayée par une autre association, centrale dans l'histoire de l'abstraction : Abstraction-Création. Fondée par Herbin, rejoints notamment par Kandinsky et Kupka, elle a été active entre 1931 et 1936. La filiation perdure par la création dès 1939 de l’association Réalités Nouvelles.

Mais cette proposition Tondo-Tondi déborde largement le cadre historique de ces références en montrant des travaux  d’artistes abstraits contemporains qui utilisent la géométrie particulière du cercle comme format, chacun à leur manière et dans des buts qui leur sont propres.

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Echangisme[s]
Géométriques v/s Lyriques

#66

flyer double

Exposition du 31 mai au 9 juin 2018
Vernissage le mercredi 30 mai de 18h à 21h

Artistes présentés :
Berat Marie, Binet Dominique, Brunetot Annie, Commet Anne, Delafosse Robert, Demaret Pranville Denise, Di Pizio Olivier, Drouin Gilles, Guyhart Nicole, Jara Hernan, Kim Seon-Ja, Levesque Erik, Mary Sylvie, Morquin Pierre, Pernet Anne-Marie, Reboh Laurence, Sins Madeleine, Temporal Prisca, Weyer Jacques.

De ligne en tache/de touche en trait
Frontière, limite, interdit... Plaisir, défi, ludisme... Quels rapports entretiennent les deux courants principaux de l'abstraction* ? Ces deux ensembles sont-ils fermés ? Le libre-échange est-il possible ? Oui ou non ?
Et si l'artiste géométrique faisait une œuvre lyrique et inversement réciproque ?

*L'abstraction recherche l'émotion par la forme et la couleur, sans recourir à la représentation ou à l'évocation de la réalité. (www.larousse.fr)

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Olivia de Saint Luc
Contradictions
#65

Exposition du 17 au 26 mai 2018Flyer double
Vernissage le mercredi 16 mai de 18h à 21h

Équilibre et déséquilibre, lourdeur et légèreté, pleins et vides, dureté et souplesse, froideur et chaleur des matériaux sont les contradictions dans lesquelles je puise mon énergie et mon inspiration. C’est le fil conducteur qui participe à une construction souvent géométrique et structurée tirant parfois vers l’architecture où se rassemblent des formes répétées, où s’imbriquent des matériaux de natures différentes.
Aller à l’essentiel, enlever le superflu, tendre vers l’équilibre et l’harmonie, plonger dans la matière pour en sortir grandie, et proposer une construction dans l’espace que l’on peut tourner ou retourner afin d’en avoir plusieurs lectures.

 

Symmetry
#64

Flyer simple

Exposition du 3 au 12 mai 2018
Vernissage le mercredi 2 mai de 18h à 21h

Artistes présentés :
Elena Dombrovska, Billy Gruner, Badri Gubianuri, George Meertens, Serhiy Popov, Richard Van Der Aa, Tiberiy Silvashi, Werner Windisch
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Abstract Project invite le CLAC
#13 ans, déjà !

Soirée exceptionelle !
Le samedi 28 avril à partir de 18h

Artistes présentés :
Pierre Alechinsky, Jean-Pierre Bertozzi, Laurent Bout, Christophe Chardenoux, Denis Darzacq, Olivier Di Pizio, Éric Jegat, Martin Lartigue, Jean-Paul Moscovino, Raphaelle Pia, Niki De Saint-Phalle, Anne Saussois, Xavier Vantaggi, Éric Vassal
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Intercontinental Line
reflection in progress
#63

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Exposition du 12 au 21 avril 2018
Vernissage le mercredi 11 avril de 18h à 21h

Pour cette seconde édition d’Intercontinental Line quelques réflexions sur la première. Nous n’avons pas observé de différences frappantes entre les artistes d’Amérique du Nord et ceux d’Europe. Cela est peut-être dû au nombre restreint de participants et également à la subjectivité du choix des artistes et des œuvres. La ligne a été le sujet et le moyen d’expression, exprimant le mouvement, les limites, la cartographie de l’espace. La dimension corporelle d’utilisation de la ligne en tant que geste, a été plus présente dans les travaux des artistes américains sans être toutefois totalement absente dans le travail des artistes européens. La différence la plus remarquable a été sans doute dans le choix chromatique, les artistes nord-américains ayant utilisé une palette plus restreinte. Cette première rencontre internationale a ouvert la voie à de futures rencontres très riches en promesses.
Daniel G. Hill / Bogumila Strojna

Exposition à l'initiative de Bogumila Strojna en collaboration avec Barbara Halnan

This second edition of Intercontinental Line demands a reflection on the first.We did not observe striking differences between the artists from North America and those from Europe. This may be due to the small number of participants and the subjectivity of our choices of both the artists and their works. Line was the subject and the means of expression to convey and engage movement, edges, and the mapping of space. A corporeal aspect, in the sense of a line being a unique result of a bodily gesture, is more present in the work of the North Americans without being totally absent in that of the European artists. The most pronounced distinction is between the chromatic and the achromatic with the North American artists employing a more reserved palette. The first intercontinental meeting has paved the way for promising future exchanges.

Artistes présentés :
Susan Andrews, Nicole Ellis, Catherine Gaillard-Remontet, Barbara Halnan, Dana Harris, Viktor Hulík, Emma Langridge, Eva Myrdal Linstow, Gyula Sági, Adia Wahid.

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Blancs
#62

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Exposition du 29 mars au 8 avril 2018
Vernissage le mercredi 28 mars de 18h à 21h

Le mot blanc vient du germanique blank, ce qui signifie « brillant, clair, sans tache », ou encore « nu ».
Les différentes significations et sensations générées par ce vocable sont explorées à travers les pratiques individuelles de chacun des huit artistes à présenter leurs travaux.
La matière vierge de toute coloration, l’espace entre les éléments qui donne naissance au rythme, l’absence même de matière par découpage ou le façonnage de l’œuvre, les propriétés réflectives d’un matériel ou l’usage de pigmentation sont autant de moyens mis en œuvre dans la réalisation et la présentation des œuvres.
Le blanc est à la fois couleur et non couleur, absence et présence, la représentation d’une chose et son absence.
Ce fil commun apporte tout à la fois la respiration et la circulation qui lient et séparent dans les œuvres et les œuvres entre elles, non pas en opposition mais en juxtaposition, voire en imbrication pour une perception spatiale augmentée. Les œuvres se révèlent par interaction entre ce qui se produit à l’intérieur de l’œuvre de chacun et à l’extérieur de ses limites matérielles avec la circulation du blanc de l’espace même de la galerie.
Dans l’ambiguïté entre être et ne pas être, au spectateur de trouver l’équilibre dans sa propre perception.

Exposition à l'initiative de Claire de Chavagnac-Brugnon

Artistes présentés :
Sandrine Baudun, Claire de Chavagnac-Brugnon,
Sophie Hélène, Yumiko Kimura, Michio Takahashi, Jun Sato, Anne Lesca, Marine Vu
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Art et Mathématiques
#61

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Exposition du 15 au 24 mars 2018
Vernissage le mercredi 14 mars de 18h à 21h

L’Univers est écrit en langue mathématique et ses caractères sont des triangles, des cercles, et d’autres figures géométriques.
Galilée
Galilée poursuivait ainsi : « sans l’intermédiaire des figures mathématiques il est humainement impossible de comprendre un seul mot au livre de l’Univers perpétuellement ouvert devant nos yeux ».
Notre exposition Art et Mathématiques réunit des artistes revendiquant l’utilisation de divers langages mathématiques dans leur travail. Parmi ces artistes, il y a les mathématiciens et les architectes de formation, et ceux qui pratiquent la géométrie intuitive.
Cette exposition a lieu dans le cadre de la Semaine des mathématiques, événement initié par le Ministère de l’Éducation et dont l’un des objectifs affirmés est de « mettre en lumière l’importance des mathématiques dans l’histoire des civilisations et leur lien avec l’art ».
En parallèle, se déroulera du 13 au 23 mars l’exposition Mathématiques et Art, organisée par l’ESMA (Association européenne pour les mathématiques et les arts), à la mairie du 5e arrondissement de Paris.
Chaque artiste a exprimé, en regard de son œuvre, son propre rapport de travail et de création avec la thématique de l’exposition.

Exposition à l'initiative de David Apikian

Artistes présentés :
David Apikian, Françoise Aubry, Milija Belic, Roger Bensasson, Charles Bézie, Guillaume Chaussé, Isabelle De Gouyon Matignon, Delnau, Denise Demaret-Pranville, Michel-Jean Dupierris, Gerhard Hotter, Viatc Heslav Koleytchouk, Ulysse Lacoste, Younja Lee, Pascal Maillard,
Jean-Luc Manguin, Philippe Rips, János Szász Saxon, Ivan Sizonenko, Roger Vilder
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Vibration[s]
Géométrico-lyriques ou lyrico-géométriques ?
#60

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Exposition du 22 février au 10 mars 2018
Vernissage le mercredi 21 février de 18h à 21h

Géométrico-Lyriques ou Lyrico-Géométriques ?

Certains artistes semblent synthétiser ces deux pôles que sont l’abstraction* géométrique et l’abstraction* lyrique comme pour créer une passerelle que les vibrations réunissent. Comment s’opèrent ces vibrations, comment ces artistes se définissent-ils ?

* L’abstraction recherche l’émotion par la forme et la couleur, sans recourir à la représentation ou à l’évocation dela réalité (www.larousse.fr).

Artistes présentés:
Philip Bodet, Carol-Ann Braun, Sonia Burel, Natacha Caland,
Claire de Chavagnac-Brugnon, Genève Cotté, Jacky Ferrand,
Catherine Gaillard-Remontet, Stéphanie Hirsch, Medjid Houari, Ko Song Hwa, Alain-Jacques Lévrier-Mussat, Noritsugu Matsui, Celia Middlemiss, André Nadal, Munira Naqui, Sezny Peron, Loredana Rancatore,
Pascal Thebault.

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Abstractson
#59

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Exposition du 8 février au 17 février 2018
Vernissage le mercredi 7 février de 18h à 21h

L'écho de la musique dans l'abstraction

Dès le début du 20ème siècle, des peintres comme Vassili Kandinsky, Paul Klee et Frantisek Kupka ont ouvert la voie de l'abstraction en s'inspirant de la musique, le moins imitatif de tous les arts.
Leurs travaux, tant pratiques que théoriques, se sont efforcés d'en suggérer abstraitement une des composantes : rythme, mélodie, timbre, contrepoint, analyse chromatique...
Correspondances entre les sons et les couleurs, représentation du mouvement, superposition, improvisation de la gestuelle sont alors autant de traduction du lien intime entre abstraction et musique. A la même époque, des compositeurs comme Alexandre Scriabine ou Arnold Schoenberg et le dodécaphonisme ont tenté d'explorer ces univers conjoints.
L'usage progressif de la photographie, de l'expérimentation cinématographique telle que pratiquée par Man Ray ainsi que le développement récent des techniques du son et de la vidéo ont élargi les possibilités et les formes d'expression.
Cette exposition propose de montrer comment des artistes des Réalités Nouvelles se saisissent de cette question aujourd'hui.

Michel-Jean Dupierris, commissaire de l'exposition

Artistes présentés:
David Apikian, Elisabeth Celle, Philippe Henri Doucet,
Michel-Jean Dupierris, Elisabeth Gevrey, Sylvie Jorajuria, Bruno Keip, Yumiko Kimura & Jun Sato, Erik Levesque, Christophe Loyer,
Ana Perez-Ventura, Eve Stein, Gabrielle Thierry, Laurent Verrier.

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Ce qui aurait pu ne pas être, [2]
#58

Exposition du 25 janvier au 3 février 2018
Vernissage le mercredi 24 janvier de 18h à 21h

Tout travail d’artiste repose sur des pratiques et des postulats plus fragiles qu’ils n’en ont l’air.

De leurs projets, de leurs réalisations les artistes transmettent la possibilité que toute chose puisse à un moment, devenir autre.
De nécessités en contingences, les œuvres sont ainsi en permanentes mutations.
Au cours de la création et des expériences menées, chacun des artistes peut avoir senti que ces recherches et productions dérivent, cherchent, et proposent de façon fortuite des formes inattendues mais possibles.
C’est autour de « Ce qui aurait pu ne pas être, [2]» que nous vous proposons cette exposition.
C’est le pari que nous avons soumis aux artistes réunis ici, montrer des créations qui sont pour eux un pas de côté dans leur production.
Montrer ce qui serait inhabituel à un moment de leur recherche.

Artistes présentés:
Catherine Aznar, Françoise Blondel, Cécile Bonduelle, Raphaëlle Boutié, Laurent Deschamps, Olivier Di Pizio, Philippe Henri Doucet,
Isabelle Labat, Claude Lelong, Anne Lou, Christian Martinache,
Jean-Pierre Renard, Lisa Sharp, Madeleine Sins, Joël Trolliet,
Eric Vassal
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The Paddock III : Posted
(from Sydney to New-York to Paris)
#57

Exposition du 11 janvier au 20 janvier 2018
Vernissage le mercredi 10 janvier de 18h à 21h

L'exposition de cartes postales itinérantes a été initiée par 14 artistes de la National Art School de Sydney, en Australie, intéressés par l'abstraction réductive.
La troisième édition, Posted to Paris, est présentée à Abstract Project. Ce projet, mis en place à Sydney, s'est arrêté à New York, et arrive actuellement à Paris. 14 nouveaux artistes sont invités à rejoindre les précédents et tous participent à l'exposition dans le lieu hôte. Ensuite les cartes postales voyagent vers une autre ville. Ce parcours se terminera par une exposition à Sydney, Australie en 2018, où tous les artistes faisant partie de ce projet, de villes différentes, exposeront ensemble.
L'exposition d'oeuvres au format cartes postales est un moyen simple et direct de permettre aux artistes d'aborder la question de la triple subdivision objet-image-virtuel. En jouant sur l'ambiguîté de la signification de "poster", chaque artiste va exposer une carte postale réelle, physique ainsi que des images, les versions virtuelles des cartes postales, sur le compte Instagram (@the_paddock_group), présentant ainsi une alternative numérique, réitérative de l'exposition.

This global, travelling postcard exhibition was initiated by 14 artists from the National Art School in Sydney, Australia, with a shared interest in reductive abstraction.
Posted to Paris is the third edition showing at Abstract Project. So far, the project, which started in Sydney, has traveled to New York City and now, to Paris. In each city, 14 artists are invited to join the project with an exhibition held in the host venue. At the end of each exhibition the postcards continue their journey to the next city with the final exhibition to be held in Sydney, Australia, in 2018, of all the artists added along the journey.
The exhibition of postcards is a compact yet direct means of presenting work and a format for contemporary artists to address a trichotomy of the object, the image and the virtual. In a play upon the changing meaning of what it is to "post", each artist will submit a physical postcard as well as posting images and virtual versions to the project's Instagram account (@the_paddock_group) in an alternative, digital iteration.

Artistes présentés:
Autumn Kioti, Beatrice Leberton, Dr. Ademola Olugebefola, Ellen Hacki Fagan, Feegz, Ken Welsensee, LeRone B Wilson, Leslie Jimenez, Rene de Los Santos, Ruben Natal-San Miguel, Sheila Prevost, Tariku Shiferaw, Tomo Mori,
Uday K.Dhar, Tania Alexander, Opie (Bianca Burns), Natalia Dzwigala,
Annelies Jahn, Michelle LeDain, Caroline McGregor, Anya Pesce, Lisa Sharp, Laura Sutton, Samantha Stephenson, Lisa Tolcher, Sean Wadey, Oliver Wagner, Suzi Zglinicki, Joanick Becourt, Roger Bensasson, Jean-Pierre Bertozzi,
Joël Besse, Christine Boiry, Frédérique Bussillet, Olivier Di Pizio,
Marylin Massey Chapin, Laura Nillni, Roland Orépük, Claudine Sallenave, Madeleine Sins, Bogumila Strojna, Richard Van der Aa.